Les mouvements de révoltes qu’ont connues de nombreuses villes de France en réaction à la mort de Nahel ont entraîné une réponse sécuritaire et autoritaire de l’État. Ces évènements ont également réactivé une vieille antienne : tout cela serait dû au numérique et aux réseaux sociaux. On aimerait rai
Attends attends, le printemps arabe c’étaient des révoltes, et c’était “grâce” aux rézosocios. J’arrive plus à suivre.