Il est possible d’imaginer de nouveaux espaces politiques, plus ancrés et plus habités. Des territoires découpés « non par la législature mais par la nature ». C’est ce que propose la théorie biorégionaliste. Ses tenants rappellent que la question écologique est une affaire d’échelle et de sensibilité au vivant.
Au lendemain du premier tour des élections régionales, le constat est sans appel. Cet échelon administratif et politique n’intéresse plus grand monde. Près de deux tiers des Français et des (...)
Y a en fait plein de définitions différentes en fonction des usages. Comme tu le sais via le serveur minetest, on a par exemple des cartes de la “couverture” mais derrière les biomes ça va de grandes catégories comme cette carte du monde:
http://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiques/paleo/paleobiomes/comprendre/quest-ce-quun-biome
On peut s’intéresser avant tout au climat, qui va dicter la catégorie de végétation viable, mais ne dit pas tout, on peut avoir de beaucoup plus anthropocentrées cartes des usages des terres qui vont quand même beaucoup déterminer la faune présente, on peut s’intéresser uniquement aux populations animales et végétales “naturelles” (sauvages)
Certains te diront que c’est la carte microbienne des sols (légende) qui te donnera la vue la plus complète du vivant.
D’une façon générale, tracer des lignes entre les biomes, les espèces, les populations, les pays, c’est un truc très humain. La nature a pas de régions administratives. On a de bonnes raisons d’en créer, faut juste comprendre que des “régions naturelles” ça va quand même rester une création très artificielle.
Merci c’est parfait pour le mégafil sur le monde paysan :)
@ortaviz@jlai.lu tu peux ajouter un lien vers le mégafil si tu veux :)