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From the very early days of the pandemic, brain fog emerged as a significant health condition that many experience after COVID-19.
Brain fog is a colloquial term that describes a state of mental sluggishness or lack of clarity and haziness that makes it difficult to concentrate, remember things and think clearly.
Fast-forward four years and there is now abundant evidence that being infected with SARS-CoV-2 – the virus that causes COVID-19 – can affect brain health in many ways.
In addition to brain fog, COVID-19 can lead to an array of problems, including headaches, seizure disorders, strokes, sleep problems, and tingling and paralysis of the nerves, as well as several mental health disorders.
A large and growing body of evidence amassed throughout the pandemic details the many ways that COVID-19 leaves an indelible mark on the brain. But the specific pathways by which the virus does so are still being elucidated, and curative treatments are nonexistent.
Now, two new studies published in the New England Journal of Medicine shed further light on the profound toll of COVID-19 on cognitive health.
I am a physician scientist, and I have been devoted to studying long COVID since early patient reports about this condition – even before the term “long COVID” was coined. I have testified before the U.S. Senate as an expert witness on long COVID and have published extensively on this topic
Le QI n’est-il pas sensé être une courbe de Gauss ? Est-ce moi qui comprends mal ou l’article qui s’exprime mal ?
Ce n’est pas la courbe en elle-même. Ce n’est qu’une photographie qu’un instant T du quotidien intellectuel que l’on situe sur la courbe de Gauss. Pour en avoir passé un (contre mon gré), c’est très flou et approximatif, un changement majeur pourrait à mon avis être décelable. Un changement mineur… j’ai des gros doutes quant à la fiabilités des résultats aux tests réalisés.
En revanche, pour avoir eu le COVID et ayant déjà des particularités neurologiques depuis la naissance, j’ai bien remarqué un impact sur mon fonctionnement au quotidien qui n’est pas suffisamment visible pour que les médecins s’y intéressent, bien que ce soit handicapant.
Edit: j’avais mal compris ce passage:
Ils parlent donc des personnes avec un QI normal à la limite basse, de mémoire. Là d’accord, ce serait peut-être plus décelable. Mais ça reste un instant T, le QI.
Et quel impact as tu identifié ?si c’est pas indiscret :(
C’est pas que t’es indiscret, c’est juste que (à la différence de George) c’est pas le sujet: je n’ai pas réagi à un commentaire et à l’article pour parler spécifiquement de ma vie.
Pardon, et merci :)
Je pourrais pas t’aider, je ne sais pas ce qu’est une courbe de gausse.
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Merci