MONTRÉAL — Les filles portent du rose, les garçons jouent avec des camions. Pour sortir de ces stéréotypes et laisser leurs enfants explorer leur identité, de plus en plus de parents se tournent vers la parentalité ouverte sur le genre, souligne un organisme communautaire. Ce type de parentalité consiste à élever son enfant sans lui […]
C’est au Québec, mais ça marche aussi ici.
Est-ce que c’est une question que vous vous êtes posé ?
Sans aller dans les extrêmes qui consistent à totalement décorréler sexe et genre (je suis d’accord qu’on ne peut pas mettre un signe égal entre les deux, mais ils sont liés), oui, j’essaie d’élever mes filles en ne leur imposant aucun stéréotype de genre. Ça marchait bien… jusqu’à l’école. Là les enfants apprennent les stéréotypes par socialisation.
Je suis par contre en plein accord avec cette citation :
Pour Mme Cossette, «le plus important, c’est surtout que l’enfant, peu importe qu’il soit fille ou garçon, qu’on lui laisse la liberté d’être une fille qui peut être masculine, ou un garçon qui peut être féminin».
Sans aller dans les extrêmes qui consistent à totalement décorréler sexe et genre (je suis d’accord qu’on ne peut pas mettre un signe égal entre les deux, mais ils sont liés), oui, j’essaie d’élever mes filles en ne leur imposant aucun stéréotype de genre. Ça marchait bien… jusqu’à l’école. Là les enfants apprennent les stéréotypes par socialisation.
Je suis par contre en plein accord avec cette citation :