Le lien parle du blocage ordonné pour les VPN, donc je vois pas le rapport avec cloudflare à part si la sortie du VPN se fait dans un pays bloqué. Le VPN ne va pas bloquer d’IP, il pourrait y avoir plusieurs serveurs derrière. Si ils bloquent les sites, ils vont juste faire un blocage du DNS du VPN, que l’on peut facilement modifier.

Cloudlfare peut bloquer les sites mais la décision du tribunal ne leur ordonne rien.

Dans ce cas là, il faut aussi s’asseoir sur les ventes réalisées là bas à part si l’entreprise est assez petite pour passer sous les radars.

Elles n’ont que très peu d’intérêt à ne pas obéir et pourraient être bloquées par les FAI si elles n’obéissaient pas

Ce qui signifie dans ce contexte ?

Est-ce que c’est possible d’être plus clair ?

Il eût été préférable de garder Signal.

Les serveurs dépendent d’amazon, ne sont pas en France, et ne peuvent pas être contrôlés directement par l’État. Donc 0 souveraineté.

De plus, il faut un numéro de téléphone par personne. Et ce n’est pas vraiment fait pour ça, on peut faire des groupes et c’est tout pour gérer toute une équipe.

En matière d’informatique, généralement, l’Etat c’est pas franchement ça, à l’exception des remarquables sites Legifrance et surtout Service Public.

Ils n’ont pas refait une application de zéro, ils se sont basés sur quelque chose qui existe déjà.

Pour rappel

Techniquement c’est pas l’application tchap qui avait une petit faille de sécurité mais le serveur, et ce n’est pas l’État qui a créé cette faille.

DINSIC emphasized that Alderson only had access to public “lounges” visible to all messaging users and not to private chat areas or confidential information.

On pouvait juste se créer un compte sans avoir une adresse mail du bon nom de domaine, ce qui veut dire que si il y avait des informations confidentielles accessibles, n’importe quel fonctionnaire avec un compte tchap pouvait y accéder.

La décision prend effet à partir de quand ?

Même pas besoin de suivre les liens pour aller lire la décision, c’est écrit dans l’article

Le 18 juillet 2025, le tribunal judiciaire de Paris a rendu un jugement

Elles sont sommées de « mettre en œuvre, au plus tard dans un délai de trois jours […] toutes mesures propres à empêcher […] l’accès » depuis le territoire français

18+3=21 donc ça devrait être effectif depuis le 21 juillet.

D’après la décision

par tout moyen efficace, et notamment par le blocage des noms de domaine et des sous-domaines associés suivants dont la liste sera transmise au format CSV

Si ce n’est pas qu’un blocage DNS, ce serait quoi comme blocage ?

Quand on utilise un VPN, on utilise le DNS du VPN normalement, en tout cas c’est comme ça avec proton pour les config wireguard. Donc ce serait un moyen efficace sans changement de configuration par l’utilisateur.

Ça dépend de ce qu’on appelle inapplicable.

Non c’est applicable, la justice peut forcer les VPN à faire quelque chose.

Mais oui ce sera très probablement possible de contourner la mesure car ils se contenteront d’un blocage dns.

Non ça s’appliquer à tous les VPN du litige pour l’instant même s’ils ne sont pas français.

Les lois de chaque pays s’applique aux entreprises qui vendent des services sur son sol, y compris si le siège se trouve dans un autre pays.

Si le raisonnement en droit paraît valide pour les autres VPN vendant des services en France, ils devraient obéir aux ayants droits sans opposer de résistance pour éviter des frais inutiles. Dans le cas où ils n’obéiraient pas, les ayants droits devraient saisir à nouveau la justice pour chaque VPN.

Les injures pourraient être réservés aux meubles qui se jettent sur nos petits doigts de pied, plutôt que d’être utilisées pour réellement communiquer.

Les entreprises ne vont pas se sentir blesser mais une injure peut tendre l’ambiance, et à terme proliférer même à l’encontre d’individus.

Qu’est-ce que l’injure permet de plus dans cette situation par rapport à d’autres mots ?

Est-ce qu’employer une injure était nécessaire pour qualifier la moralité d’entreprises tournés vers le profit et cherchant à défendre leurs intérêts et pas du tout celui des consommateurs ?

Au moins l’avantage avec la CNIL c’est que si elle sanctionne, il faut vraiment se remettre en question. Elle a une interprétation très inventive pour arranger la situation des responsable des traitements de données personnelles tant qu’ils font un effort minimum.

Le désavantage c’est que les responsables des traitements peuvent faire presque ce qu’ils veulent.

C’est le même pays, en effet.

Sauf que là, ça vient de leur gouvernement, pas d’un groupe de militants conservateurs.

La réaction du syndicat de la magistrature

Il courait pour pouvoir vendre ses marchandises plus vite

Mon instance lemmy était fédérée à très peu de communautés et c’était il y a très longtemps donc je ne peux pas faire de comparaison niveau performances.

J’ai l’impression de mieux comprendre piefed, ce qui facilite la résolution des problèmes quand il y en a. Vu que c’est en python, on peut très facilement modifier un morceau du code.

La façon dont je l’ai installé est totalement différente : avec lemmy j’avais utilisé podman, pour piefed j’ai fait une installation directement sur la machine (sans conteneur). J’espère qu’il n’y aura jamais de problème au niveau des versions de python.

J’ai pas assez de connaissance pour dire si ça manque ou non d’optimisation, mon instance n’a pas l’air d’être surchargée pour l’instant mais il n’y a pas beaucoup d’utilisateurs même si il y a beaucoup de contenu fédéré. Mais normalement, le cache de postgresql quand on lui donne beaucoup de mémoire devrait permettre de faire marcher l’instance même avec beaucoup d’utilisateurs.

Niveau expérience utilisateur, la vue avec les commentaires de toutes les communautés et la possibilité d’être notifié des nouvelles publications ça change tout.

J’ai pas l’impression que piefed est très gourmand en cpu, en ram c’est environ 1 Go j’ai l’impression (si on modifie certains paramètres, on peut réduire l’utilisation de ram dans mes souvenirs, mais si c’est sur un serveur qui n’héberge que ça, 1 Go c’est rien).

Par contre, postgresql est très sollicité et les temps de chargement de chaque page dépendent de la vitesse de postgresql (donc du disque).

Alors que mon serveur synapse (matrix) ne consomme que 50 Mo. Par contre niveau processeur, c’est autre chose.

@miaou@jlai.lu

Il donne notamment cette source, après et uniquement après qu’une personne lui ait demandée.

La réforme prévoirait notamment que Proton, tout comme Threema (l’application suisse qui se positionne comme une alternative sécurisée à WhatsApp), soit tenue d’enregistrer en temps réel les métadonnées de ses utilisateurs (adresses IP, destinataires de courriels, localisation) et de les transmettre en continu au Service de surveillance de la correspondance par poste et télécommunication (SCPT), sans qu’aucune validation judiciaire préalable ne soit requise

Si on suit le lien qu’ils donnent pour trouver l’ordonnance

Les transmissions de manière automatisé, c’est si le “FST est considéré comme ayant des obligations complètes”

Art. 16g FSCD ayant des obligations complètes
1 Le Service SCPT déclare un FSCD comme ayant des obligations complètes pour tous les services de communication dérivés qu’il offre lorsque:
a. en moyenne, au cours des douze derniers mois (date de référence: 30 juin), le nombre d’usagers de tous les services de communication dérivés qu’il offre a atteint au moins un million; ou
le chiffre d’affaires en Suisse de l’ensemble de l’entreprise a atteint au moins 100 millions de francs au cours des deux exercices précédents.

Par contre, ce n’est pas écrit (dans ce que j’ai lu) en quoi consiste la transmission de renseignements de manière automatisée

On dirait que la vidéo a été réalisée par IA, il y a quelque chose de pas naturel.

De plus, pas de source, donc on peut réellement se questionner sur quelles informations sont réelles et lesquelles ne le sont pas et sont potentiellement hallucinées, notamment l’obligation de transférer toutes les données sur un serveur tiers, c’est complètement absurde au niveau économique alors qu’une simple conservation avec accès total suffirait.

Dans les commentaires, la “personne” affirme qu’elle va mettre les sources “dans l’aprem”

J’ai réglé le bug à l’arrache (ou peut être correctement, je ne sais pas, en tout cas ça marche).

Dans app/models.py, j’ai augmenté la longueur acceptable du hash du mot de passe dans la base de données :

password_hash = db.Column(db.String(165))

Et fait une migration :

flask db migrate -m "tentative de reparation 2"

puis retirer dans le fichier généré ce qui ne m’intéressait pas

flask db upgrade

@mat@jlai.lu @teabow49@jlai.lu

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