TRIBUNE. Dans une tribune au « Monde », le consultant Jean Pinard estime que la critique de l’excès de fréquentation de certains sites touristiques devient caricaturale. Elle masque les vrais enjeux et ne sert qu’à stigmatiser les voyageurs issus des classes populaires, qui n’ont pas les moyens de s’offrir des vacances dans des endroits plus éloignés ou moins équipés, en dehors des congés scolaires.
On peut imaginer un tourisme durable.
Paris est une des premières destinations touristiques. Avec des trains rapides de nuit, toute l’Europe peut visiter a bas carbone la France.
Le problème c’est que le carbone n’est pas pris en compte dans les dépenses si c’était le cas on aurait des alternatives bas carbone.
On peut imaginer un tourisme durable.
Paris est une des premières destinations touristiques. Avec des trains rapides de nuit, toute l’Europe peut visiter a bas carbone la France.
Le problème c’est que le carbone n’est pas pris en compte dans les dépenses si c’était le cas on aurait des alternatives bas carbone.
Ba la difficulté, l’enjeu du xxi siècle est l’eau.
Pas le carbonne ?
Non iels s’en foutent.
Par contre l’eau, beaucoup moins. Personne n’aiment puer ni devoir porter des vetements sales et le rendement du potager sera en chute libre.
L’eau a un impact beaucoup direct que le CO2. 3 jours sans, tu ne survis pas.