TRIBUNE. Dans une tribune au « Monde », le consultant Jean Pinard estime que la critique de l’excès de fréquentation de certains sites touristiques devient caricaturale. Elle masque les vrais enjeux et ne sert qu’à stigmatiser les voyageurs issus des classes populaires, qui n’ont pas les moyens de s’offrir des vacances dans des endroits plus éloignés ou moins équipés, en dehors des congés scolaires.
J’ai pas lu l’article mais le titre ne me plait pas. Le surtourisme fait pression l’écosystème local et culturel.
Une ile de 100 habitants a pour ressource :
100 pommes pour 100 habitants
3L365100 d’eau
200 visiteurs viennent sur l’ile, ben déjà ya pas assez de pommes. Et l’eau manque.
À un moment, dans 10-15 ans, on devra établir des quotas touristique pour ne pas manquer d’eau dans une région.
On peut imaginer un tourisme durable.
Paris est une des premières destinations touristiques. Avec des trains rapides de nuit, toute l’Europe peut visiter a bas carbone la France.
Le problème c’est que le carbone n’est pas pris en compte dans les dépenses si c’était le cas on aurait des alternatives bas carbone.
C’est la responsabilité de la mairie et de la région, pas des touristes.
Si on autorise la construction d’un hôtel 500 places et qu’on fait une campagne de pub virale pour promouvoir le bled alors que l’eau manque déjà pour les habitants, faut pas s’étonner.
Quand tous les hôtels / campings / parkings sont pleins, les touristes vont ailleurs, c’est déjà un quota naturel. Donc pourquoi pas juste ne pas en ouvrir de nouveaux, et si besoin réguler le nombre de chambres/places qu’ils ont le droit de louer en cas de conditions particulières (sècheresse pollution etc…)
Effectivement c’est l’argent, mais plus le temps va passer plus l’écosystème sera determinant.
Quand on manquera d’eau, en 2050, on aura 2 options :
les usines de déssalement
les quota touristes/habitants selon les régions.
On pourra pas tous, ni toutes se regrouper en un meme lieu au meme moment. Ce sera plus tellement une privation mais une question de survie.
Et encore, avec le tourisme ya des pays qui se sont axé dessus et ont détruit leur marché locaux car le tourisme est devenu la composante centrale de leur économie.
J’ai pas lu l’article mais le titre ne me plait pas. Le surtourisme fait pression l’écosystème local et culturel.
Une ile de 100 habitants a pour ressource :
200 visiteurs viennent sur l’ile, ben déjà ya pas assez de pommes. Et l’eau manque. À un moment, dans 10-15 ans, on devra établir des quotas touristique pour ne pas manquer d’eau dans une région.
Les 200 visiteurs vont dépenser de l’argent sur l’ile, et l’ile aura plus de moyen d’import, faire des raccourcis comme ca n’est pas une bonne idée.
C’est pas une bènne idée mais on peut développer pcq ça met en lumière ces echanges économiques
On peut imaginer un tourisme durable.
Paris est une des premières destinations touristiques. Avec des trains rapides de nuit, toute l’Europe peut visiter a bas carbone la France.
Le problème c’est que le carbone n’est pas pris en compte dans les dépenses si c’était le cas on aurait des alternatives bas carbone.
Ba la difficulté, l’enjeu du xxi siècle est l’eau.
Pas le carbonne ?
Non iels s’en foutent.
Par contre l’eau, beaucoup moins. Personne n’aiment puer ni devoir porter des vetements sales et le rendement du potager sera en chute libre.
L’eau a un impact beaucoup direct que le CO2. 3 jours sans, tu ne survis pas.
C’est la responsabilité de la mairie et de la région, pas des touristes.
Si on autorise la construction d’un hôtel 500 places et qu’on fait une campagne de pub virale pour promouvoir le bled alors que l’eau manque déjà pour les habitants, faut pas s’étonner.
Quand tous les hôtels / campings / parkings sont pleins, les touristes vont ailleurs, c’est déjà un quota naturel. Donc pourquoi pas juste ne pas en ouvrir de nouveaux, et si besoin réguler le nombre de chambres/places qu’ils ont le droit de louer en cas de conditions particulières (sècheresse pollution etc…)
Surement, en vrai je sais pas ce que ça va donner.
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Effectivement c’est l’argent, mais plus le temps va passer plus l’écosystème sera determinant.
Quand on manquera d’eau, en 2050, on aura 2 options :
On pourra pas tous, ni toutes se regrouper en un meme lieu au meme moment. Ce sera plus tellement une privation mais une question de survie.
Et encore, avec le tourisme ya des pays qui se sont axé dessus et ont détruit leur marché locaux car le tourisme est devenu la composante centrale de leur économie.